La Discothèque Idéale (détaillée)

AMASEFFER
La Discothèque Idéale (détaillée) - Page 4 Cover--Amaseffer--SLAVES

Exodus - Slaves For Life
(2008)

Genre musical : : Metal Progessif à sonorités Orientales

Line-Up de l’album : :

» Erez Yohanan - Drums and Percussions
» Yuval Kramer - Guitars
» Hanan Avramovich - Guitars
» Maya Avraham - Vocals
» Yotam Avni - Vocals
» Angela Gossow - Vocals
» Mats Leven - Lead Vocals
» Kobi Farhi - All Oriental Vocals

Chronique : :

Apparemment, rares sont les metalleux à avoir entendu parler d'Amaseffer, jeune trio Israélien pratiquant un Metal Progressif fortement teinté de sonorités orientales. Certes, la scène Metal de leur pays reste encore restreinte (son plus illustre représentant étant Orphaned Land). Cependant, c'est sous le giron d'un label de prog' réputé (InsideOut Music) et avec le renfort d'invités de luxe que cet album a vu le jour. En effet, ce n'est pas moins que Mats Leven (caméléon vocal ayant joué avec des formations aussi diverses que Therion, Krux, Yngwie J. Malmsteen, At Vance, pour ne citer que les plus connues), Kobi Farhri (d'Orphaned Land justement) et Angela Gossow (Arch Enemy) qui sont venus donner de la voix sur ce disque (excusez du peu). Choix d'ailleurs judicieux de la part des 3 protagonistes car si le battage médiatique autour de cet album n'a semble-t-il pas été intense, « Exodus – Slaves For Life » est selon moi un des tout meilleurs album de Metal sorti en 2008.

Entièrement enregistré dans leur propre studio et produit par leur batteur Erez Yohanan, « Exodus – Slaves For Life » est le premier volet d'une trilogie s'articulant autour de l'histoire du peuple Juif et de la narration de l'Exode d'après l'ancien testament. Et, comme son sous-titre le laisse deviner, c'est surtout de l'esclavage et l'oppression exercée sur les israélites à l'époque des pharaons dont traite ce premier chapitre. Augmentez le volume sonore, éteignez les lumières, allongez vous et laissez vous guider sans mal dans l'univers d'Amaseffer. Car « Exodus – Slaves For Life » est plus qu'un album, c'est une véritable fresque musicale, la bande son d'un improbable péplum hollywoodien. Dès l'instrumental d'introduction Sorrow (dans lequel se mêlent narration en hébreux, guitare acoustique, flûte traditionnelle et samples d'ambiance), l'auditeur a tout de suite l'impression de faire partie intégrante de l'histoire, d'assister au récit en tant que protagoniste. On sentirait presque le vent de sable nous fouetter le visage, nous permettant à peine de distinguer, près de nous, ces esclaves Israéliens travaillant la terre sous la surveillance de gardes à cheval.

Si l'on devait faire un raccourci, je dirais que la musique d'Amaseffer est la parfaite rencontre entre les sonorités progressives et orientales d'Orphaned Land et la richesse des orchestrations de Therion. Mais là où se situe, d'après moi, toute la perspicacité d'Amaseffer c'est que le groupe ne tombe jamais dans le piège d'une surenchère musicale qui pourrait être rédhibitoire pour l'auditeur. Je m'explique. Du point de vue des instruments metal de base (guitare, basse, batterie donc), les parties sont relativement épurées, simples et donc plus facilement assimilables que les plans très techniques et trop démonstratifs auxquels la musique progressive nous a hélas souvent habitué. En revanche, les orchestrations sont fouillées (très fouillées même) et les changements d'ambiances nombreux. De ce fait, il n'est pas facile de s'enfiler les 1 heure et 18 minutes de cet album d'une traite. Mais ces nombreuses variations d'ambiance sont plus un avantage qu'un inconvénient selon moi. Cela contribue a faire de la musique d'Amaseffer une des plus riches qu'il m'ait été donné d'écouter. De plus, toutes les orchestrations (et les ambiances qui en découlent) sont toutes relativement bien amenées, l'exemple le plus probant étant le magnifique Birth Of Deliverance : en l'espace de quelques secondes, le groupe nous fait passer d'un univers très féerique à une ambiance de fin du monde avec une remarquable maîtrise.

Bref, pour premier essai, cet album surprend par son impressionnante cohérence et la maturité qui s'en dégage. Rares sont les jeunes groupes qui, selon moi, ont su écrire un album aussi abouti et riche d'influences diverses pour leur première livraison (même si l'on se doute que les musiciens ont du bagage derrière eux). Et s'il ne contenait pas quelques longueurs qui peuvent, en de courtes occasions, lasser l'auditeur, cet album aurait largement mérité son 10/10. Quoi qu'il en soit, « Exodus – Slaves For Life » ravira les amateurs d'ambiances riches, d'orchestrations fouillées et de concept-albums.

Tracklist de l’album :

01. Sorrow - 02:40
02. Slave For Life - 08:27
03. Birth Of Deliverance - 11:11
04. Midian - 11:47
05. Zipporah - 06:10
06. Burning Bush - 06:30
07. Wooden Staff - 09:13
08. Return To Egypt - 03:25
09. Ten Plagues - 11:28
10. Land Of The Dead - 06:53

Total : 78 minutes

Morceaux choisis :

Slaves For Life
Birth Of Deliverance
Land Of The Dead

Si vous avez aimé, vous aimerez aussi …

THERION
ORPHANED LAND

Nico, tu m'avais fait écouter déjà quelques morceaux et leur musique est vraiment impressionnante. J'aime bien le concept de l'album qui raconte une histoire surtout cette histoire là, tellement dure et surtout qui s'inspire du religieux.

Je suis toujours impressionnée par ces groupes qui réussissent à retranscrire par la musique des émotions aussi violentes et une atmosphère tellement particulière. Ils ont bien réussi à nous faire passer le message.

IMMORTAL
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At The Heart Of Winter
(1999)

Genre musical : : Black Metal

Line-Up de l’album : :

Abbath : Guitars, Bass, Synthesizers, Vocals
Horgh : Drums
Demonaz : Lyrics

Chronique : :

Comme on dit par chez moi, Immortal a « le cul entre deux chaises ». Vous me pardonnerez je l'espère cette expression franchouillarde à la con qui n'a pour seul mérite de bien résumer le cas Immortal. Je m'explique. Immortal est un des piliers fondateurs de la scène Black-Metal norvégienne. Cependant, soucieux de ne pas évoluer dans un même registre musical tout au long de sa carrière, le groupe a peu à peu dirigé son Black-Metal originel vers quelques chose de plus accessible, au risque de mécontenter les fans de la première heure. Mais ne vous méprenez pas, par « plus accessible » il ne faut pas comprendre pour autant « plus commerciale », la musique du groupe n'ayant rien en commun avec celle de Cradle Of Filth par exemple.

Ce qui caractérise le plus cet album, c'est tout d'abord son homogénéité. Il n'y pas un titre qui se démarque plus qu'un autre et, de ce fait, ce disque s'apprécie comme un tout, ce qui, vous me direz ne rend pas la musique d'Immortal si accessible que cela. Difficile donc d'avoir un avis partagé concernant cet album : ou on aime, ou on aime pas. Ceci est d'autant plus vrai que, les titres étant relativement longs, il n'est pas évident de s'imprégner de la musique, à tel point que l'on pourrait presque qualifier Immortal de groupe de Black-Metal épic. La production de ce disque est excellente et met le duo Abbath (guitare-basse-chant) - Horgh (batterie) dans des conditions sonores propices à développer les ambiances glaciales chères au groupe. Mais, chez Immortal, nul besoin de claviers (hormis l'intro du morceau-titre) pour recréer l'atmosphère d'un hiver norvégien. Toutes les mélodies de ce disque proviennent ainsi de la guitare, qu'il s'agisse de magnifiques arpèges en son clair (« Solarfall », « Tragedies blows at horizon ») ou de riffs en tremolo-picking parfaitement construits (« Where dark and light don't differ », « At the heart of winter »). On notera également l'utilisation de riffs plutôt connotés Heavy-Metal (« Where dark and light don't differ » et son excellent riff « tournoyant » sur le refrain, « Tragedies blows at horizon ») qui renforcent le caractère mélodique de cet album. Les deux musiciens sont techniquement irréprochables même si l'on peut émettre un bémol concernant le chant d'Abbath, manquant de puissance, qui pourra être un frein pour certains auditeurs (je trouve pour ma part qu'il colle parfaitement à la musique).

Enfin, le groupe a choisi (judicieusement) de confier la réalisation de la pochette du CD à l'excellent illustrateur français Jean-Pascal Fournier (Edguy, Yaerning, Rain, ...) ce qui à deux avantages. Premièrement, l'illustration est en totale adéquation avec la thématique de l'album et, deuxièmement, on échappe pour une fois aux tronches des musiciens couvertes de corpse-paints qui font franchement clichés.

Avec cet album, considéré par beaucoup comme le meilleur de la discographie du groupe, Immortal a réussi à se forger un son identifiable entre mille, alliance parfaite d'arrangements riches et d'ambiances envoûtantes, sans pour autant trahir ses origines. Une vraie réussite.

Tracklist de l’album :

1. Withstand the Fall of Time
2. Solarfall
3. Tragedies Blows at Horizon
4. Where Dark and Light Don't Differ
5. At the Heart of Winter
6. Years of Silent Sorrow

Total : 46'07

Morceaux choisis :

Withstand The Fall Of Time

Excellent album de la bande à Abbath, bien heavy, bien couillu, la pochette est splendide et reflète parfaitement le contenu musical. C'est le premier album des norvégiens que j'ai apprécié et le côté moins true m'a attiré, même si je trouve maintenant un charme certain à leurs premiers albums plus evil.

Un excellent disque qui s'apprivoise avec le temps car très dense et très homogène. Un monument du genre.

WINDIR: ARNTOR

La Discothèque Idéale (détaillée) - Page 4 98arntorrl2

Windir est un groupe de black metal norvégien créé en 1994 et qui disparut en 2004 après la mort du chanteur Terje "Valfar" Bakken.
Le groupe Windir, rencontre du projet unique de Valfar et du groupe Ulcus, a créé un style musical propre à sa région, le sognametal. Chanté en Sognamaol; dialecte difficilement compréhensible pour les autres Norvégiens, ayant pour particularité cette sonorité norroise "ao" (ó), les textes sont fortement identitaires et sont principalement axés sur la période chrétienne et terminale de l'ère viking, en particulier autour de la bataille de Fimreite et de l'imposture du roi Sverre de Norvège.

Voilà pour le décor.

Venons-en au fait avec la musique.
En 1999, voici que débarque cet album que je découvris beaucoup plus tard, en 2005 grâce à un ami. Il me passe un ou deux morceaux par MSN et là, sans plus de temps qu'il n'en faut, me voici conquis.
Cela faisait longtemps qu'un groupe de black ne m'avait pas autant émerveillé.

Tout commence avec une intro douce et gorgée d'accordéon (attention, ce n'est pas Yvette Horner pour autant Laughing

) et le premier véritable morceau (Arntor a warrior)débarque à grand coup de rythmique rapides et de riffs efficaces. Les mélodies font mouche, les passages atmosphériques sont prenant, on se sent vraiment au coeur d'un disque épique et guerrier.

Les morceaux regorgent de choeurs guerriers, de breaks acoustiques, mélangés par des arrangements de claviers somptueux.

https://www.youtube.com/watch?v=pz-UA6rjQ8Q : ce morceaux vous prend à la gorge du début à la fin grâce à son riff mélodique terriblement efficace et son rythme soutenu. Les breaks sont divins, emportés par des claviers majestueux. Le riff principal est repris en fin de morceau accompagnée de la batterie, le tout se prolongeant merveilleusement avec quelques touches mélancoliques.

Après un tel monument, difficile de faire mieux, alors rien de tel qu'un bon morceau de viking metal.

L'avant-dernier morceau est lui une perle, si ce n'est même LA PERLE de cet album. Ses nombreux breaks atmosphériques lui confèrent un aspect prodigieux. Ecoutez ces cris sur fond de choeurs guerrier accompagnés de la guitare qui semble pleurer telle l'eau qui s'écoule d'une cascade..........
Le summum de cet oeuvre (car oui ce morceau est une oeuvre à elle seule) survient vers 7'30: écoutez et dites moi ce que vous en pensez, c'est beau à en pleurer. Le solo mélodique sonne comme un ultime écho, un ultime espoir. Rarement entendu une si belle mélodie.
https://www.youtube.com/watch?v=QvVcK5nhYNo

Après tel monument, le dernier morceau fait pâle figure mais reste tout à fait dans la tonalité de l'album.

Bilan: Arntor est à mes yeux une pierre angulaire du black-metal et même du metal tout court tellement cet opus vous transporte dans son univers (ce qui n'est pas chose aisée, il faut le reconnaître) guerrier, épique, beau, transcendant et mélancolique à la fois. Un des meilleurs albums de black à mes yeux, un de mes meilleurs albums également que je réécoute sans me lasser car je plonge avec toujours autant de plaisir dans cette oeuvre (j'insiste lourdement mais on est face à une oeuvre et non un simple album) et je ressens toujours quelque chose en l'écoutant, un peu comme s'il m'envoutait. En tout cas, son géniteur, où qu'il soit, est une perte majeur dans notre univers metallique et musical au sens large du terme tant il a apporté à la musique et ce style qu'il a inventé de lui même, le sognametal. Nul groupe ne peut se targuer de faire ce que Windir a pu créer, tant leur musique est unique et éternelle.

La Discothèque Idéale (détaillée) - Page 4 EdguySavagePoetryCD

1. Hallowed
2. Misguiding Your Life
3. Key To My Fate
4. Sands Of Time
5. Sacred Hell
6. Eyes Of The Tyrant
7. Frozen Candle
8. Roses To No One
9. Power And Majesty

Today je vais vous faire découvrir un album dont peu de gens connaissent l'existence étant donné que cet album est une réédition du premier album d'Edguy qui date de leur jeunesse... The savage poetry...d'ailleurs la pochette fait penser à du hamlet si on regarde bien...
La version que je possède ici présente entre mes mains contient même deux cds: la version dite ancienne et la version remasterisée. Ce qu'il faut noter c'est que cette idée est trés appréciable tant on peut juger de l'évolution du groupe et des choix de certains passages qui ont été retravaillés...Bref que du bonheur...En tant que musicien il est en effet trés interessant de voir les passages préférés à d'autres et comment les arrangements ont été retravaillés.

Venons-en aux faits!! Cet album date déjà de dix ans!! mon dieu que ça passe vite!! quand à la pochette elle sort de l'ordinaire des autres pochettes de edguy...A part celle-ci et Mandrake les pochettes d'Edguy c'est pas le top!

Alors mettons ce petit cd....

Hallowed: alors ça commence fort!! fade in et chanson digne d'un tube de edguy! un morceau power metal mid tempo dans l'âme! des riffs lourds une batterie qui appuie bien les rythmiques et le refrain digne des best morceaux d'edguy!! le refrain est tout simplement magique!! et il reste gravé dans la tête!! ce que semble oublier de faire Edguy dans ces récentes rondelles!!
Morceau excellent!

Misguiding Your Life: le morceau speed de l'album ;-) la voix de tobias colle trés bien au morceau même si au niveau des choeurs le refrain reste "basique" pour du edguy!! on appréciera les envolées lyriques d'avant couplet! et le jeu de la ligne de basse pendant les prérefrains mais surtout le refrain!!
Morceau speed et efficace!!

Key To My Fate: Encore un morceau mid tempo :-) mais celui là posséde une ambiance en plus bien particulière sans doute liée au piano et synthé ! Un morceau trés interessant tant par sa structure que par sa complexité (encore un refrain qui rentre dans l'oreille de l'auditeur) sans doute un morceau trés représentatif de l'album :-) La partie d'avant le dernier refrain est excellente!!

Sands of Times: La ballade de l'album!!! piano de mise mélodies magnifiques!! à ne pas conseiller si vous êtes déprimés vous serez encore plus triste!! mais que c'est excellent! un refrain encore dans le lot des grands! qui plus est quand c'est une ballade!!

Sacred Hell: Encore un titre excellent!! assez speed!choeurs impeccables!! on sent la patte de tobias!! de l'excellent boulot!! certes le refrain est en dessous des autres mais tout de même pas mal!! le solo quand à lui est excellent y'a pas à dire!! un des meilleurs solo de l'album!! mélodique à souhait!! la fin du morceau rappelle du métallica si si !! c'est vrai!! à découvrir...

Eyes of a Tyrant: Attention morceau épique!! à l'instar du morceau theater of salvation sur l'album du même nom! 10min de bonheur!! on passe par tout ce que Edguy sait faire de mieux!! passage tantot calme tantot speed! morceau complexe choeurs parfaits!! je le conseille à Jeff, qui je pense saura apprécié le niveau de composition du morceau et notamment des choeurs! attention c'est bandant des passages sublimes à 4min,5min notamment!! 6 min petit passage avec la basse c'est bien trouvé! c'est énorme!!!! à l'instar en comparaison au niveau de l'écriture on pourra facilement rapprocher cette compo du premier album Avantasia!! Car dans ce morceau tout y passe!!! Je conseille quand même de l'écouter plusieurs fois tant il est subtil ;-)

Frozen Candle: l'autre titre speed de l'album double pleine bourre!! avec un coté morceau speed à l'ancienne!! avec un chant qui se rapproche de bruce dickinson mais avec les choeurs que seul tobias sait faire!! le refrain monte dans l'aigue! là on voit que tobias assure grave!! à l'instar du morceau précédent on ressent au milieu du morceau des passages souvent bien amenés: petits passages acoustiques joussifs :-) passage préféré à 4min 40 jusquà 6min l'instru est vraiment magique! à conseiller pour les fans de speed à l'ancienne et ceux qui aiment les morceaux épique!!

Roses to No one: La deuxième ballade cette fois à la guitare acoustique avec grosses distos!! et celle là est tout aussi excellente! passages mélodiques à souhaits!que c'est bon!! le refrain énormissime!! on retrouve le edguy que l'on connait!! à l'instar du premier morceau de l'album!! ça reste dans la tête!! à écouter A-B-S-O-L-U-M-E-N-T

Power and majesty: le morceau de fin de l'album simple et efficace! un petit côté Maiden niveau guitare mais pareil on sent la touche Edguy!! et c'est excellent! en tout cas moi je suis fan! Le Refrain est lui aussi excellent!! dans sa façon d'être chanté! tout à la fois original et facilement reprise tout en choeur!! on comprend dés lors que cette chanson rendrait trés bien en concert ;-) à l'instar d'un headless game pour le refrain ;-) on imagine tout le public crié ;-)

Cet album comme vous avez pu le lire reste pour moi un album d'Edguy " dans la lignée" de ceux que j'aime: theater of salvation (mon préféré!!) ou encore Vain Glory opéra! cependant cet album à quelquechose en plus il ne sonne pas du tout happy!! on sent un brin de mélancolie apporté à l'aide de petites touches enfin j'arrive à me comprendre!! sinon je le conseille à tous les fans d'Edguy!!
Al'instar j'avais osé espérer le même traitement pour Kingdom of madness qui souffre cruellement niveau prod! et qui mériterait le même traitement!! Tobias si tu m'entends!! ça serait super!!

Bref allez écouter du bon vieux edguy! ;-) et écoutez le plusieurs fois car c'est un album trés riche ;-)

A bon entendeur :-)

les morceaux:
le tube Hallowed: https://www.youtube.com/watch?v=uXeSZJEQ5GE&feature=related

le mid tempo: https://www.youtube.com/watch?v=1slqyPc0FUM&feature=related

Bien sur je vous laisse découvrir les autres morceaux car les morceaux épiques sont vraiment excellents ;-)

Disque ô combien excellent qui bénéficie par ce réenregistrement d'un traitement à la hauteur du talent très précoce de son géniteur. Les premières compos du groupe qui ont certes été bien arrangées dégagent néanmoins une puissance et un sens de la composition indéniables et exceptionnels. On ressent encore dans ces morceaux des influences encore un peu évidentes comme Helloween ou Iron Maiden mais ils ne gênent pas l'écoute pour autant.

Merci de m'avoir fait redécouvrir Eyes Of The Tyrant un brûlot épique et bombastique comme je les aime ! D'une fluidité exemplaire !

C'est clair qu'il s'agit d'un brillant premier effort qui montre le visage d'un compositeur hors-pair.

Mais heu, tout le monde se branle de mon Windir. Crying or Very sad

Non je ne pense pas, mais moi le premier je vais devoir m'y plonger en profondeur, c'est groupe beaucoup plus underground pour beaucoup de monde et je connais plus 1184.

Jeff Kanji a écrit:: Non je ne pense pas, mais moi le premier je vais devoir m'y plonger en profondeur, c'est groupe beaucoup plus underground pour beaucoup de monde et je connais plus 1184.

1184 comporte de très bons morceaux même si je ne les aime pas tous mais Arntor déborde de classe. Il y a deux morceaux plus faibles mais les autres sont de tels monuments qu'il est difficile d'être au même niveau à tout moment.En tout cas, je t'encourage à t'y plonger mon cher ami. Wink

Faut que j'écoute le 1er et le dernier justement.

Je suis en congé à partir de demain, je fais remonter le topic mais de nouvelles chroniques sont à venir.

EQUILIBRIUM: SAGAS

La Discothèque Idéale (détaillée) - Page 4 Equilibriumsagas

Equilibrium est un groupe de folk metal à tendance black metal épique. Ils utilisent tous les instruments conventionnels d'un groupe de metal (guitares électriques, batterie, basse) mais leurs chansons sont quasi-systématiquement accompagnées d'accordéon, flûtes, et d'autres instruments folkloriques.

Les titres des chansons, aussi bien que les paroles, sont en allemand. Les thèmes abordés évoquent la mythologie germanique, ainsi que certains contes allemands. Voici pour la présentation.

Sagas est le second album des allemands après un Turys fatir de bonne facture.

L'intro nous plonge directement dans l'ambiance de l'album avec un souffle épique qui ne cessera tout du long. Chaque morceau contient les éléments musicaux précités avec un chant extrême typé black voire death par moment ainsi que moultes orchestrations.Le quatrième titre "Unbesiegt" m'avait fait halluciner à l'époque car l'intro fait plus penser à la compagnie créole qu'à du black Laughing

mais ce morceau se révèle d'une grande richesse bien que surprenant par certains abords. https://www.youtube.com/watch?v=qh_aQc2tR5o&feature=fvst

Même si un morceau commence de façon plus abrupte, le relent épique est toujours présent. Au milieu de ce fameux opus, une interlude vient se glisser pour apaiser le tout, tout en restant dans cet univers.

Le titre suivant fait apparaître des choeurs guerriers et de somptueuses mélodies quant à l'avant dernière piste, la mélodie principale laisse entrevoir quelque chose de plus tragique tout en restant d'une parfaite beauté.

Le final de cette oeuvre (le mot est ici employé à sa juste valeur) a lieu sous forme d'apothéose musicale avec le fabuleux Mana, digne d'une grande fresque musicale pour film d'Heroic Fantasy, bourré de choeurs, de mélodies, de passages folk................on a vraiment l'impression d'être immergé dans un film épique. J'ai rarement ressenti pareille émotion en écoutant de la musique. Les passages à la flute magnifient le tout.Le morceau débuté doucement puis s'accélère au bout de 5mn27. A force de l'écouter (je ne m'en suis pas encore lassé), j'arrive à trouver à ce morceau une dimension de bravoure et d'émotion pure.Vers les 15mn, le soufflet retombe et le final se veut plus lent, où orchestrations et flûte se marient à merveille pour achever cet opus magistral de bout en bout qui associe durée (1h19mn14s) et plaisir intense.

Alors, si vous aussi, vous êtes tentés de faire un voyage EPIQUE (car tel est le mot qui résume le mieux cet album) et de vous immerger au sein de cet album dantesque, allez y, mais sans vous boucliers ni vos cornes à bière, le voyage n'en sera que plus paisible.

Néanmoins, malgré cette critique dithyrambique, je souligne la sortie de leur nouvel album, Rekreatur, paru avant l'été, dont la pochette aurait pu figurer sur la jaquette du Roi Lion. Il est tout simplement insignifiant, insipide, sans saveur aucune, comment ce même groupe a t-il pu pondre un album tel que Sagas et faire une bouse immense par la suite? Certes, si la critique est aisée (mais sans le Minotaure, comprenne qui pourra La Discothèque Idéale (détaillée) - Page 4 221686

La Discothèque Idéale (détaillée) - Page 4 221686

), l'art est difficile et une fois de tels albums sortis, il est difficile de relever l'exploit à nouveau. Mais quand même, je ne vous cache pas l'immense déception que j'ai pue ressentir à l'écoute de ce dernier opus.

Quoi qu'il en soit, si vous appréciez Sagas, leur premier effort devrait vous ravir également.

Depuis le temps que tu prêches la bonne parole pour cette opus, il va vraiment falloir que je me penche dessus. Merci pour le petit lien !

NOKTURNAL MORTUM: THE SECRET OF STEEL

La Discothèque Idéale (détaillée) - Page 4 Nokturnal

Il fallait absolument que je vous parle en détail de ce qui est mon album de l'année, ma découverte black aussi. Je connaissais le groupe surtout pour le côté sulfureux. Nokturnal Mortum est un groupe de black metal ukrainien formé en 1994 par Knjaz Varggoth. Ce groupe a la particularité d'appartenir au courant national socialist black metal (NSBM). Cette fascination pour l'idéologie nationale socialiste ressort par exemple sans ambiguïté dans le titre The Call Of Aryan Spirit [1] . Outre le national socialisme, Nokturnal Mortum aborde dans sa musique des thèmes tels que le paganisme, la nature et le folklore ukrainien. (merci Wikipédia)

Mais comme je le dis souvent, la musique passe avant tout, sinon on pourrait très bien boycotter Wagner ou d'autres grands de la musique.
Alors, à force de voir cet album cité pare nombre de mes congénères sur Vs, je me suis décidé à jeter une oreille (puis deux) sur cet opus.

L'intro est assez étonnante car on entend comme un cor de chasse et c'est un peu champêtre pour ainsi dire.
Le premier véritable morceau déboule avec son côté viking,pagan, folk et ses vocaux criés puis de la flûte survient un peu plus tard. Tous ces éléments se marrient à merveille et se fondent dans l'ensemble musical.Ca, c'était pour débuter les hostilités car le meilleur reste à venir.

Le troisième morceau assez typé black déboule rapidement mais il est parsemé de chants clairs et de mélodies diverses, de solos pas dégueus pour un sou. Donc ici, on rentre plus dans le vif su sujet.

Cela nous amène à la quatrième piste qui est à mon sens THE MORCEAU de l'album. Il commence aussi de façon champêtre avec son violon mais se dévoile rapidement avec son chant black et ses choeurs guerriers de toute beauté notamment sur le refrain qui revient maintes fois sans pour autant être redondant. Quelle beauté magistrale!La chanson s'étire ainsi sur plus de 8 mn parsemé de superbes mélodies.

Le cinquième morceau prend des airs plus aériens et atmosphériques et un tempo plus lent et s'égraine sur plus de 11mn.

Une fois cette ambiance calme achevée, on repart de plus belle avec de bons coups de double pour enchaîner la suite de l'album mais le tout est parsemé de flûte et de solos divers.

Et là, passée la furie (c'est très relatif cela étant), arrive ce titre d'un calme olympien (le plus court en dehors de l'intro) avec un fond musical très ambiancé, aérien, flûte, uniquement du chant clair et une mélodie entraînante et envoutante qui forme le socle de cette composition superbe. Renversant, vraiment et d'une beauté rare. On peine à croire qu'on écoute un album de black.

Pour achever cette pièce maîtresse, l'enchaînement avec le dernier titre coule de source car on est là aussi sur une base assez calme avec de la gratte acoustique et une mélodie cyclique qui nous hypnotise tout au long de ses 11mn48. Le chant black et torturé est soutenu par un clavier somptueux comme si on touchait au mélancolique.Toute la beauté de la musique est réunie dans ce titre, les atmosphères sont vraiment prenantes et la lenteur du rythme joue beaucoup en la faveur de ce qui pourrait être également le meilleur morceau de l'album.Une composition divine qui achève à merveille cette oeuvre que je qualifierai de renversante pour les raison évoquées tout au long de cette chronique.

Alors, avant d'achever cette chro, vous allez me dire que c'est bizarre, je n'ai pas écrit un seul titre mis à part le nom de l'album. C'est tout simplement parce que l'ukrainien et moi, ça fait deux (ou trois ça dépend lol!

) et que tous les titres (y compris le titre) sont écrits dans leur langue natale.

Je conseille vivement à vous tous ici de jeter une oreille attentive à ce petit bijou de black atmosphérique et folk,que vous soyez amateurs de black ou non (car on est très loin du true black) car ce serait une grave erreur je" vous l'assure.

Rammstein

Mutter

Visiblement quelque peu occulté dix ans après sa sortie, les fans et le grand public retenant visiblement mieux les déflagrations plus indus de son prédécesseur Sehnsucht (dont certains extraits avaient fait le bonheur de certaines B.O. hollywoodiennes), il est temps de remettre sous le feu des projecteurs Mutter, qui, à juste titre, a cassé la baraque à sortie en 2001 et achevé d’établir Rammstein non plus comme une curiosité mais comme un monument du metal encore assez hostile à son égard.

La personnalité si particulière de Rammstein, entre chant guttural dans la langue de Goethe, envolées lyriques accompagnées de clavier et assise rythmique massive et intraitable, trouve son maître-étalon en Mutter. Les rythmiques quasi-robotiques, écrasantes de la paire Kruspe / Landers nous clouent sur place à l’image du démarrage en trombe de Mein Herz Brennt qui donne le ton de l’album ; à la fois martial, épique et symphonique à bien des égards. Le groupe, s’il incorpore toujours avec intelligence les sons de claviers et autres samples electro, a décidé de pousser le bouchon un peu plus loin en incorporant des parties de cordes et des nappes du plus bel effet, dépeignant des atmosphères tantôt dramatiques, gothiques ou romantiques (Mein Herz Brennt encore, Mutter mais surtout pour moi le morceau ultime de Rammstein : Sonne). La quintessence du groupe à l’acmé de son inspiration est palpable sur chaque note de ce dernier, du décompte introductif sur fond de clavier trance, à la rythmique foudroyante, des paroles simples mais poétiques aux chœurs virils qui scandent le refrain, de la voix féminine qui apporte son souffle épique et son émotion au chant de Till Lindemann toujours empreint de mélancolie. On pourrait dire encore beaucoup sur Sonne (à l’image de son clip déviant le conte de Blanche-Neige), mais les autres morceaux de la galette méritent plus qu’une petite attention ; en effet comment résister à Links 2,3,4 qui sur un ton humoristique, se raille de l’imagerie néo-nazie que beaucoup de non-germanophones ont un peu vite collé au groupe, tout en pondant une chanson au refrain tendu et épique. Ich Will nous ramène vers des couleurs rappelant plutôt leur précédent effort Sehnsucht avec son côté plus sec et moins grandiloquent et plus industriel. Feuer Frei ! voit, comme son titre l’indique (Feu à Volonté), la machine Rammstein s’emballer et démontrer que les Allemands sont aussi efficaces quand le tempo s’accélère. Mutter est la pièce la plus touchante chantée par Till Lindemann à ce jour, dans le sens où elle évoque les rapports psychanalytiques de la mère à l’enfant (l’artwork morbide du fœtus dans le formol n’est pas anodin). Ce pont central qui laisse la place aux seules cordes et à la voix murmurée qui monte crescendo pour éclater dans un cri de douleur de l’enfant à sa mère par la profondeur de la voix de basse du chanteur, décuple l’ampleur dramatique de ce morceau plus calme introduit par de jolis arpèges et par une voix de bébé. Spieluhr bien que convaincante fait surtout respiration suite à Mutter et à cet enchaînement de classiques depuis le début de la galette, avant que Zwitter ne vienne arracher le plancher. Rein Raus fait preuve de l’humour si particulier de Rammstein, parlant ouvertement des joies de la levrette ! Adios, bien qu’un peu moins percutante que Feuer Frei !, préfigure néanmoins par son utilisation de la guitare et son jeu de batterie les expérimentations plus osées de Reise, Reise qui marqueront une nouvelle étape dans la carrière des Allemands.

Une fois la planante Nebel (à l’enrobage sonore pas très éloigné d’un morceau comme Seemann) terminée, on n’a qu’une seule envie : redémarrer cet album-référence qui a cette force de pouvoir s’écouter comme un tout (ce que je préfère) mais aussi par morceaux choisis ; en témoigne les nombreux extraits sortis en single. Je ne vous conseillerais que trop de visionner les clips du groupe, faisant toujours preuve d’idées originales et de mises en scène pointues (le clip de Sonne notamment). La musique de Rammstein ayant toujours eu un impact visuel primordial. L’autre force de Mutter réside, à mon avis, dans sa production gargantuesque qui fera référence pour les dix quinze années suivantes ; Jacob Hellner, le fidèle producteur, étant un artisan particulièrement opiniâtre et personnel. Je recommande donc chaudement ce disque culte au succès commercial amplement mérité. Putain dix ans !

Sonne
Ich Will

Si vous avez aimé, vous aimerez aussi :
Oomph! : Unrein
Deathstars : Night Electric Night
Karelia : Raise

J'en profite pour relancer ce topic. Trois nouvelles chroniques à venir (Angra - Temple Of Shadows, Myrath - Tales Of The Sand, Queen - A Kind Of Magic)

Très bonne initiative mon cher Jeff.Mutter m'a fait aimer Rammstein même si je suis peu friand des deux premiers opus.Quand on lit ta chro, on se dit que tu aurais ta place au sein d'une rédaction de magazine metal, très sincèrement, je retrouve le style d'écriture dont je m'abreuve depuis des années.
Bravo. Et dès que j'ai 5 mn, j'en referai une.

Angra

La Discothèque Idéale (détaillée) - Page 4 3347

Temple Of Shadows

Eh bien celui-là je dois dire que je ne m’y attendais pas. Car après les bouleversements qu’on connaît (pour rappel, en 2001, Andre Matos se fait la malle avec Luis Mariutti et Ricardo Confessori pour fonder SHAMAN, laissant Rafael Bittencourt et Kiko Loureiro seuls comme deux ronds de flans) et un Rebirth honnête mais inégal, ANGRA signe là ni plus ni moins que son chef-d’œuvre.

Revigoré par l’arrivée de sang neuf, Rafael Bittencourt nous a concocté un concept album d’une qualité rare qui fait les yeux doux à Holy Land. Ainsi les influences progressives sont plus que jamais de mise et les couleurs Brésiliennes font leur grand retour, soit intégrées à la section metal comme sur « Winds Of Destination » (un des meilleurs morceaux de la galette, la présence d’Hansi Kürsch apportant une plus-value indéniable) soit exploitées dans des compos acoustiques enjôleuses (« Sprouts Of Time »). Et les deux avec la même réussite ! Car la grande force de cet album réside à la fois dans sa variété et l’équilibre du tout. En effet, L’intro, à la fois mystérieuse et grandiose (mais souvent inutile dans le cas de beaucoup d’albums du même genre), est indispensable au démarrage de l’album, son enchaînement sur « Spread Your Fire » étant des plus détonants. S’ensuit un autre morceau très speed « Angels And Demons » où la dextérité du batteur Aquiles Priester est mise à l’honneur et qui permet de mieux comprendre pourquoi ce dernier a pu postuler pour remplacer Mike Portnoy au sein de DREAM THEATER. Ces enchaînements à la fois complexes et fluides sont la marque des grands maîtres de la musique progressive. Après « Waiting Silence », plus mid-tempo, on est vite entraîné vers d’autres couleurs. Les éléments acoustiques font d’ailleurs leur arrivée de manière progressive pour arriver au mélange ultime sur « Winds Of Destination » puis « Last Redemption » où la musique du groupe prend des accents symphoniques du plus bel effet. Et que dire de « The Temple Of Hate »… sinon que le groupe s’y montre en parfaite possession de ses moyens avec de nouveau une démonstration de maîtrise impressionnante. Ils montrent ici comment le power metal typique de Kai Hansen (dont la participation vocale écrase littéralement le pauvre Edu Falaschi, assez pénible dès qu’il s’aventure dans les aigus) se trouve magnifié par des compositeurs aussi doués que Kiko Loureiro et Rafael Bittencourt.

On est ici au second âge d’or du groupe. Et même la différence de niveau flagrante entre Edu Falaschi et son illustre prédécesseur ne suffit pas à entacher la qualité de cet album qui est véritablement l’œuvre d’un groupe à l’acmé de son talent. Période faste qui ne durera hélas pas, les deux successeurs de ce Temple Of Shadows m’ayant moins convaincus, l’un après l’autre. ANGRA livre en cette année 2004 l’un des derniers monuments de la forteresse true-metal (dont il commence déjà à s’éloigner). Les mecs, on attend la suite !!!

The Temple Of Hate
Winds Of Destination

Si vous avez aimé, vous aimerez aussi :
Luxaeterna : Aquaria
A Time Never Come : Secret Sphere
Gambling With The Devil : Helloween
At The Edge Of Time : Blind Guardian
Power Plant : Gamma Ray

Merci Jeff, et est-ce que tu pourrais nous rajouter ta petite note "Si vous avez aimé, vous aimerez aussi : " ? Merci d'avance.

Vous pouvez désormais consulter mes chroniques sur le webzine Nightfall In Metal Earth dont j'ai rejoint l'équipe. Mes premières publications y sont parues aujourd'hui :

Archive : THERION - The Miskolc Experience
Nouveauté : STEVEN WILSON - Grace For Drowning

Une petite publication en exclu : le dernier SATAN JOKERS est une tuerie phénoménale. J'attends avec impatience l'avis de notre cher Metal Dad sur la question. Pour des raisons évidentes, je devrais attendre dimanche 9 pour vous la faire parvenir (date de publication prévue sur NIME) et elle sera accompagnée d'une interview de Mr Renaud HANTSON, que j'ai eu l'immense plaisir/chance/honneur d'avoir au téléphone hier soir pour discuter de ce fameux concept-album qu'est "Addictions".

Alors ? Il sera de la prochaine représentation de Starmania ?? lol

Sinon cool, c'est ton 2ème interview je crois. Et là, belle pointure, il faudra que je me jette cette galette dans les cages à miel.

Connaissant ton ouverture d'esprit, je pense qu'il peut bien te plaire. Oui c'est ma deuxième interview et je la dois quand même entièrement à lui. À venir une interview de LORD SHADES également.

Et la voici (oui j'ai un peu de retard, j'admets !)

http://metal.nightfall.fr/index.php?idchoix=9839

Qui nous rédige la prochaine ?